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VIP-Blog de femme_du_monde
  • 7 articles publiés
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  • Créé le : 19/03/2006 16:27
    Modifié : 30/03/2006 20:02

    Fille (14 ans)
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    a toutes les mamans du monde :

    30/03/2006 20:02

    a toutes les mamans du monde :


    Parents, n’ayez plus peur de l’adolescence
     
    Cette période entre enfance et âge adulte n’est pas facile à vivre pour les ados. Encore moins pour les parents. La psychanalyste Claude Halmos donne quelques repères pour mieux aborder les problèmes et répond à cette préoccupation majeure : quels sont les signes qui doivent inquiéter ?
    e n’est un secret pour personne : l’adolescence est une zone de turbulences. Elle ne « secoue » pas seulement ceux qui la traversent – les adolescents –, mais aussi leur entourage et, en premier lieu, leurs parents.

    Confrontés à leur enfant en mutation, ceux-ci voient en effet s’abolir leurs repères et, désorientés, vivent, pour nombre d’entre eux, dans la peur de passer à côté d’un problème, voire d’une catastrophe. D’où leur quête angoissée auprès des spécialistes : « Mais à quoi voit-on qu’un adolescent va vraiment mal ? A partir de quand faut-il s’inquiéter ? »
    La recherche de signes
    Cette recherche de "signes" qui permettraient de savoir ce qui se passe est compréhensible, car l’adolescent est, pour ses parents, aussi impossible à saisir que le furet de la chanson. La démarche, cependant, n’est pas sans danger. Elle présente en effet un risque majeur : celui de mettre les parents dans une logique de "chasse à la maladie". Leur angoisse les prédispose à cette traque et leurs craintes ont toutes les chances d’être majorées par ce que véhicule la notion de "signes". Parler en ces termes induit l’idée que ces signes seraient les mêmes chez tous les adolescents, qu’ils auraient chez tous la même signification et constitueraient toujours les prémices d’un trouble grave.

    Or, il n’en est rien. Qu’une jeune fille rechigne à se nourrir ne signifie pas pour autant qu’elle soit, d’ores et déjà, "une anorexique". Elle exprime par ce refus de s’alimenter une difficulté à vivre qu’elle ne parvient pas à dire avec des mots. Sa souffrance peut être plus ou moins importante, mais elle est toujours singulière. Elle n’a pas le même sens que celle d’une autre adolescente qui présenterait des troubles équivalents et doit être, dans chaque cas, décryptée en fonction de l’histoire personnelle. Figer d’emblée les choses en mettant une "étiquette" serait une erreur car, à l’adolescence, tout est en mouvement, le pire comme le meilleur.

    Ce serait, de plus, une erreur dangereuse, car les adolescents sont toujours prompts à s’identifier à l’image d’eux-mêmes qu’on leur propose. Objets d’un diagnostic, ils peuvent être amenés, si l’on n’y prend pas garde, à la reprendre à leur compte et à en "rajouter" dans les symptômes pour "coller au personnage".
    D’observateurs à incompétents
    Dangereuse, la recherche de signes l’est aussi pour les parents. Prisonniers d’une telle logique, ils se mettent souvent, croyant bien faire, en position "d’observateurs" de leur enfant. Cette attitude est dommageable, car leur regard, parasité par l’angoisse, ne leur fait voir que ce qu’ils redoutent et imaginent.

    Elle l’est également pour la relation à leur enfant. Qui "observe", en effet, "n’écoute" plus. Or, ce dont un adolescent a besoin, ce n’est pas d’être sous le microscope ni que l’on épie ses faits et gestes, c’est qu’on l’écoute. L’adolescent qui se sent "observé" par ses parents vit toujours leur attitude comme une preuve de défiance à son égard. Cela casse à la fois la confiance qu’il a en eux et celle qu’il peut avoir en lui-même. Car, quelle que soit la désinvolture qu’il affiche, l’opinion que ses parents ont de lui compte. Elle est même un appui essentiel pour l’image qu’il se construit de lui-même.

    Enfin, contrairement à ce qu’ils croient, la connaissance de signes ne rend pas les parents plus "savants". Au contraire. Si ce savoir extérieur à eux-mêmes les rassure dans un premier temps, il les fait toujours à terme se sentir encore plus "incompétents". Il les empêche même, dans bien des cas, de suivre une intuition qui était juste. S’ils refusent de se laisser duper par les illusoires "modes d’emploi" qu’on leur propose, ici ou là, que peuvent faire les parents qui s’inquiètent pour évaluer les problèmes de leurs adolescents ?
    Les 8 repères
    Il faut qu’ils comprennent que s’il n’y a, en matière d’adolescence, ni "recettes" ni "savoir miracle", il existe des repères qui peuvent servir de boussole. Quels sont-ils ?

    1) L’adolescence n’est pas une maladie, même si elle fait souffrir. L’adolescent n’est pas "malade", il est en mutation. La nuance est importante.

    2) L’adolescence ne peut jamais se passer "bien". Ou, plus exactement, si elle se passe bien – c’est-à-dire sans heurts –, c’est là qu’il faut s’inquiéter. Une éducation n’est "réussie" que si elle permet qu’à l’adolescence on se révolte contre elle, et la révolte, ça fait toujours du bruit…

    3) Se rappeler que l’adolescence est l’équivalent d’un vaste chantier. L’adolescent doit tout démolir en lui pour tout reconstruire et, pour ce faire, il doit creuser jusque dans les fondations de son enfance.

    Cette importance du chantier a trois conséquences :
    – nul ne peut prévoir avec certitude combien de temps il va durer ;
    – un certain "quota" de problèmes est inévitable : des travaux de cette ampleur ne peuvent s’effectuer sans incidents ;
    – comme dans toute rénovation, on n’est pas à l’abri de surprises désagréables. Les plus graves étant liées à des défauts dans la construction initiale. L’adolescence agit comme un révélateur de ce qui n’était pas en place depuis l’enfance. Elle est l’occasion de découvertes douloureuses, mais qui ont un avantage : une fois les problèmes mis à jour, on peut les régler.

    4) Sur quoi porte le chantier ? Sur tout, c’est-à-dire sur tout ce qui constitue les piliers du psychisme d’un être humain.
    L’adolescence remet en chantier :
    – le narcissisme, l’image, bonne ou mauvaise, que l’adolescent a de lui-même ;
    – sa "sexuation" : se sent-il "vraiment garçon" ? "Vraiment fille" ?
    – sa sexualité : qu’aime-t-il vraiment ? Les garçons ? Les filles ?
    – son individuation, c’est-à-dire sa capacité à être, à penser et à décider seul ;
    – son désir de vie : la force intérieure qui le pousse – ou non – à avoir des projets, à vouloir se construire un avenir ;
    – son rapport à la "loi" : sa reconnaissance – ou non – de la valeur des limites, des règles sociales ;
    – son rapport au "social" : aux institutions, aux adultes extérieurs à la famille, à l’autorité.
    – sa vie relationnelle : sa capacité à aller vers les autres, à se faire des amis, etc.

    5) Des problèmes (normaux) peuvent donc surgir à plusieurs niveaux :
    – le narcissisme : un manque de confiance en soi. D’autant plus grand que, le corps se transformant, on ne maîtrise plus l’image que l’on donne aux autres ;
    – la "sexuation" : une fille peut, par peur de la féminité, jouer les "garçons manqués" et un garçon, les "gros durs" parce qu’il craint de manquer de virilité ;
    – la sexualité : on la cherche et on se cherche. Des émois naissent, parfois homosexuels, et ils font peur ;
    – l’individuation : on hésite à se lancer dans la vie. On recherche, un peu trop, l’assentiment des parents ou leur aide pour des choses que l’on devrait faire seul ;
    – les projets : on interroge le sens de la vie. Avancer, mais pourquoi faire ?
    – la loi : on refuse de "payer le prix", de travailler. On flirte avec les interdits, on frôle la délinquance ;
    – la vie relationnelle : on n’arrive pas à se "faire des copains" ou bien on devient, au contraire, l’otage de sa "bande" et l’on semble abdiquer toute personnalité, etc.

    6) Si tant de problèmes sont "normaux", à partir de quand faut-il s’inquiéter ? La réponse est simple : lorsque les problèmes sont vraiment trop importants ou lorsqu’ils durent vraiment trop longtemps.

    Un adolescent qui est replié sur lui-même, qui n’a aucun copain, qui n’a pas de vie affective – pas de "petit" ou de "petite amie" –, qui abandonne totalement ses études, ou qui, triste, semble n’avoir aucun désir de vie et aucun projet, et, bien entendu, un adolescent qui "se lance" dans la délinquance – même mineure – doivent inquiéter.

    Comme doit inquiéter un adolescent qui reste enfermé dans une guéguerre sans fin, à propos de tout et de rien, avec ses parents, car c’est souvent, pour lui, une façon d’éviter les vraies questions.

    7) Que faire si l’on sent venir un danger ? On peut évidemment proposer à l’adolescent de l’emmener consulter. Mais il est souvent plus judicieux que les parents voient d’abord, seuls, un spécialiste pour lui faire part de leurs craintes. Cela leur permet de les évaluer et d’étudier avec l’aide du professionnel le type d’aide à apporter à l’adolescent. Et, si l’adolescent refuse de consulter, de bénéficier, eux, d’une aide pour les problèmes qu’ils rencontrent avec lui.

    8) A l’intention des parents qui continueraient à se culpabiliser à l’idée qu’ils ne sont pas parfaits : cessez de vous flageller ! Pour devenir adultes, vos enfants ont besoin de se détacher de vous et, pour un temps, de vous rejeter. C’est donc une chance pour eux que vous ne soyez pas parfaits. Si vous l’étiez, ils ne pourraient jamais vous quitter…
    DIALOGUES ENTRE ADOS :
    Sur Psychologies.com
    Timidité, homosexualité, déprime, etc., le forum « Ados » de notre site est devenu un lieu où les jeunes expriment leur désarroi sans fausse pudeur.

    Lucy, 20 ans : « Je ne fais rien. Je suis étudiante en école de commerce et je me demande ce que je fais là. Mais il y a longtemps que je me suis fait une raison : ma vie est et restera toujours pourrie ! »

    Flore, 19 ans : « Je pense être victime de phobie sociale. […] En fait, je ne suis pas une sauvage qui refuse tout contact avec autrui. Je redoute simplement le jugement des autres. »

    Noémie, 18 ans : « Avant, j’étais un vrai garçon manqué. Je n’avais pas de copines. Je me disais que cet excès de “virilité” venait d’un surplus d’hormones mâles et qu’un jour, je me rendrais compte de mon homosexualité. Aujourd’hui, je m’entends beaucoup mieux avec les filles, je suis en accord avec ma sexualité et avec les hommes, je soigne mon apparence… Tout baigne quoi… ! »


    Commentaire de nouvelle maman (31/03/2006 16:02) :

    un grand merci pour toi,j'espere que tu continueras de la sorte encore un trés grand bravo et merci.


    Commentaire de Hajoura (31/03/2006 16:23) :

    Le sujet que tu abordes est très important, tu as bien fais de le choisir, je trouve que ton blog est super interessant, continue comme ça!je te souhaite bon courage!





    La Femme en Arabie Saoudite

    30/03/2006 19:48

    La Femme en Arabie Saoudite


    Femmes saoudiennes Un des premiers producteurs de pétrole du monde, une puissance financière capable de soumettre le dollar, la livre et l'économie occidentale, l'Arabie Saoudite est aussi l'un des pays les plus rétrogrades en matière de respect des droits humains…

    L'Arabie Saoudite a les mains rouges et le cœur asséché par les actes de violences qu'elle encourage sur son territoire à l'égard de toutes les personnes qui entravent la loi sociale et religieuse. Dans cette politique délibérée de chasse à l'impie, les femmes, qu'elles soient saoudiennes ou immigrées, font l'objet d'une discrimination instituée et traditionnelle.

    Des patrouilles de la police religieuse, les " mutawa'een " sillonnent les rues, questionnent les femmes accompagnées d'un homme pour s'assurer de l'identité de ce dernier, vérifient que la tenue vestimentaire stricte imposée par la loi est respectée, arrêtent les femmes qu'ils jugent en infraction, les emprisonnent, les soumettent parfois à une " vérification de leur virginité ", les torturent, les font condamner par un système judiciaire corrompu et incompétent. Certaines se retrouvent rapidement devant un peloton d'exécution pour des crimes qu'elles n'ont pas commis. Comment défendre une femme devant un tribunal si les lois édictent, elles-mêmes, des pratiques discriminatoires et violentes à leur égard ? Tout est organisé pour que la justice soit rendue, au nom de la loi religieuse, sans appel, sans recours, le plus rapidement possible et dans le secret le plus absolu.

    Prenons le cas de cette femme indonésienne immigrée et employée comme domestique. Quelques jours après son embauche, elle est maltraitée, soumise à des injures, des harcèlements verbaux et physiques, puis rapidement abusée sexuellement. Son employeur est assassiné. Elle est alors accusée du meurtre, jugée en secret et contrainte à signer une déclaration écrite en langue arabe qu'elle ne comprend pas. Ces textes constituent bien souvent des passeports pour l'exécution capitale ! Pourtant, elle n'a jamais compris la raison de son emprisonnement. Ce sont les rares lettres adressées à sa famille qui nous renseignent de son désarroi. Aucune personne, aucune organisation, aucun avocat, ne peut intervenir de l'extérieur pour lui venir en aide, pour faire réviser son procès. La barrière de la langue, le manque d'argent, le système judiciaire inique et voué au châtiment ne lui laissera aucune chance.

    La femme saoudienne, de son côté, est censée bénéficier de droits économiques égaux à ceux des hommes. Dans la réalité, ses droits civiques, quasi inexistants, constituent une entrave majeure à l'exercice de son rôle dans la société saoudienne. La scolarité lui est réglementée et certaines disciplines ne lui sont pas accessibles, réservées aux garçons. Une femme ne peut voyager sans l'accord préalable de son époux, son père ou toute autre autorité masculine familiale. Il en est de même pour son admission dans les hôpitaux.

    En fin de compte, nous pourrions nous acharner à trouver une porte de secours qui nous laisserait entrevoir l'amélioration de la condition des femmes en Arabie Saoudite, mais aucune issue ne semblerait envisageable pour l'instant. Les mûrs sont trop hauts et trop épais. Les femmes se heurtent à leur dureté, se blessent à leurs pierres saillantes… Une fenêtre s'ouvre pourtant, toute petite, mais qui a l'avantage d'exister : la possibilité pour certaines filles et sous surveillance, d'avoir accès à l'Internet par l'intermédiaire d'ordinateurs installés dans quelques universités. Un début d'espoir dont nous ne savons pas s'il doit générer l'expression d'un sourire ou l'écoulement de quelques larmes ? Sans doute les deux !





    un homme au monde des femmes!!!!-vous les femmes

    29/03/2006 21:43

    un homme au monde des femmes!!!!-vous les femmes


    Vous les femmes, vous le charme
    Vos sourires nous attirent nous désarment
    Vous les anges, adorables
    Et nous sommes nous les hommes pauvres diables

    Avec des milliers de roses on vous entoure
    On vous aime et sans le dire on vous le prouve
    On se croit très forts on pense vous connaître
    On vous dit toujours, vous répondez peut-être

    Vous les femmes, vous mon drame
    Vous si douces, vous la source de nos larmes
    Pauvres diables, que nous sommes
    Vulnérables, misérables, nous les hommes

    Pauvres diables, pauvres diables ....

    Dès qu'un autre vous sourit on a tendance
    A jouer plus ou moins bien l'indifférence
    On fait tout pour se calmer puis on éclate
    On est fous de jalousie et ça vous flatte

    Vous les femmes vous le charme
    Vos sourires nous attirent nous désarment
    Pauvres diables que nous sommes
    Vulnérables, misérables, nous les hommes

    Pauvres diables, Pauvres diables, Pauvres diables



    Commentaire de femme (30/03/2006 12:41) :

    oui bravo bravo et bravo encore quoi dire?!rien que félicitation!je voix encore en toi mon reve moi je voix que tu vas toucher le sommet si tu ontinue comme ca mloi qui te connais plus que moi meme... je t'aime ma chérie et j'espere que tu continuera de la sorte... femme que tu connais par coeur: MOI





    lara fabian

    23/03/2006 19:35

    lara fabian


    bah oui elle aussi elle est une femme et puisque je laime trooooooop voici une biographie d'elle:

    Lara Fabian est née le 9 janvier 1970 à Etterbeek, en Belgique, d'une mère sicilienne et d'un père belge. Très jeune, Lara pousse la chansonnette et se trouve une passion immodérée pour la musique. Tout commence le jour où elle est sélectionnée pour l'Eurovision, où elle représente la Belgique. Elle termine à la quatrième place (derrière Céline Dion, qui rafle le concours) et met le pied à l'étrier. Cette première expérience la pousse donc à persévérer, tentant une percée au Bénelux et en France. Tentative sans succès. Lara rencontre alors Rick Allison, (qui deviendra son producteur et ami) et part avec lui au Québec. Ils montent alors Les Productions Clandestines, leur propre label, avec la collaboration de Lise Richard. Lara sort son premier album éponyme, en 1991 et sa carrière est lancée. Au cours des dix années suivantes, elle obtient une énorme notoriété dans son nouveau pays (elle se fait naturaliser canadienne en 96), récolte de nombreux lauriers et donne des concerts dans tout le pays, Carpe Diem, sort en 95. Elle revient sur le devant de la scène européenne en 1997, avec son troisième album, Pure, qui contient les fameux Tout et Je t'aime, entre autres. L'année suivante, elle obtient la Victoire de la Musique de la révélation de l'année et tourne avec notre Johnny national. Son quatrième opus, éponyme, sort en 99, suivi d'une tournée européenne. Lara revient à la fin de l'été 2001, avec Nue. En 2003, elle signe En toute intimité, un album live acoustique. Juin 2004: Lara Fabian publie A Wonderful Life, un album en anglais. L'année suivante, elle revient avec un album en français baptisé 9.
    enfaite jaime trooooooooo son nouvo album il est vraiment tro coo





    femme de IRAN

    22/03/2006 20:13

    femme de IRAN


    Femmes iraniennes En 1998, le conseil supérieur de la révolution culturelle en Iran, sous la présidence de M. Muhammad Khatami, a examiné le rapport soumis par la commission d'étude de l'adhésion de l'Iran à la Convention pour l'élimination de toutes formes de discrimination contre les femmes. Il a été décidé que la République islamique n'adhèrerait pas à la convention…

    Cette décision nous renseigne sur les réelles intentions des dirigeants iraniens en ce qui concerne l'évolution de la condition de la femme dans leur pays. En effet, si nous pouvons lire, par-ci, par-là, que le parlement, sous l'impulsion du président Kathami, a présenté et adopté de nouvelles lois en faveur des femmes iraniennes, la volonté de les appliquer est inexistante. Surtout si, parallèlement, d'autres lois viennent accroître la discrimination à d'autres niveaux de la vie sociale.

    Je ne parle pas du port du voile obligatoire, institution religieuse renforcée par le nouveau "plan de développement de la culture de la chasteté" et qui rend passible de plus importantes représailles les femmes qui manqueraient à cette loi. Les peines encourues sont la détention et la punition par flagellation, dont le nombre de coups de fouet est laissé à la discrétion du gardien de police qui aura jugé du mauvais comportement de la femme ou de sa tenue vestimentaire négligée.

    En fait, le système tolère fréquemment la discrimination à l'égard des femmes et même certains membres de la classe dirigeante incitent à la violence en cautionnant cette forme de conduite discriminatoire ou tout au moins en ne la pénalisant jamais.

    La discrimination contre les femmes en Iran se rencontre un peu partout dans les différentes classes de la société. Outre le fait qu'elles n'ont pas la même facilité d'accès à l'éducation et la scolarisation que les garçons, leur admission dans un hôpital pour recevoir des soins est problématique. Ainsi, le parlement iranien a adopté une loi sur "l'islamisation" des services médicaux qui ouvre notamment la voie à une séparation des sexes dans les hôpitaux et une différence de qualité de soins.

    D'autre part, une campagne d'intimidation à l'égard de la presse s'est développée en stipulant que quiconque défendrait de façon illégitime les droits des femmes serait passible de l'annulation du permis de publication. Et lorsque l'on connaît le nombre considérable de rédacteurs en chef, soit incarcérés, soit exécutés pour avoir écrit des articles reconnus "diffamatoires" à l'égard de la loi islamique, nous pouvons craindre que la femme se retrouve totalement privée de ses droits.

    A 9 ans, l'iranienne devient une femme. C'est la loi qui en décide ainsi. Quelles en sont alors les conséquences ? Prête à être mariée, la fillette devient la convoitise de mollahs âgés qui, souvent après avoir abusé d'elle sexuellement (certaines de ces fillettes se retrouvent à l'hôpital avec les organes génitaux mutilés car non encore épanouis), la revendent à d'autres mollahs et ainsi de suite... L'acceptation du " mariage provisoire " par la législation actuelle donne libre cours à cette forme d'abus. Une véritable exploitation sexuelle sous le couvert du mariage a lieu sans que le parlement ne s'en inquiète. Il n'est pas rare que la domination soit telle que la relation entre un homme trop âgé et une jeune fille se termine par le meurtre de celle-ci...


    Commentaire de Marynée (23/03/2006 19:50) :

    et pour ne pas etre egoiste un coucou spéacial pour la femme iraienne Image hébérgée par
hiboox.com

    http://blog.vip7.com/laie&belle




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